Apparu pour la première fois dans les années 70 aux États-Unis, ce concept resté flou durant un long moment refait surface depuis quelques années. Et pour cause, s’il permet de satisfaire un besoin d’initiative et d'indépendance, il offre un certain « confort » puisque l’intrapreneur peut développer son projet au sein de son entreprise et bénéficier de ses moyens, à la manière d’un incubateur.
De même, l’intrapreneuriat permet de s’affranchir des contraintes inhérentes aux grands groupes : des process longs et manquant parfois de flexibilité qui ne favorisent pas forcément l’aboutissement de tous les projets.
Du point de vue de l'entreprise, l’intrapreneuriat profite notamment à la dimension RH en contribuant à l’épanouissement professionnel et à l’investissement des collaborateurs. Ce mode de gestion d’initiatives permet également à l’entreprise de se projeter dans son activité. En effet, les projets menés par les intrapreneurs sont souvent des pistes vers une diversification de l’activité de l’entreprise et apportent même des perspectives d’avenir pour celle-ci.
Souvent assimilé au mécénat, le format de l’intrapreneuriat est aujourd’hui devenu un levier de dynamisme pour l’entreprise et ses collaborateurs.
Management
22 jun 2017
L’intrapreneuriat, c’est quoi ?
Comme son nom l’indique, l’intrapreneuriat reprend le même principe que celui de l’entrepreneuriat à la seule différence qu’il s’inscrit au sein d’une organisation dont l’intrapreneur fait partie. Explications.