Il retrouve son niveau d’avant-crise. Pour un couple avec 2 enfants de moins de 14 ans, ce montant correspond à un revenu disponible de 43 090 € par an, soit 3 591 € par mois.
Les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 11 040 € annuels et les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,4 fois supérieur, au-delà de 37 570 €.
En 2016, les ménages les plus modestes ont notamment bénéficié de la mise en place de la prime d’activité en janvier 2016. Les niveaux de vie sont en revanche stables dans le haut de la distribution et diminuent même pour les 5 % les plus aisés.
Le taux de pauvreté s’établit à 14 % de la population (8,8 millions de personnes), après 14,2 % en 2015. La situation vis-à-vis de la pauvreté reste très liée au statut d’activité: 38,3 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,4 % des salariés et 34,8 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en 2016.
Noter que les indépendants (4,9 % de la population totale) ont un revenu médian de 23 190 € , proche de celui de l’ensemble des salariés (22 680 €) et des retraités (21 510 €); il a progressé 3 fois plus que celui des salariés (respectivement de +2 % vs +0,6 %).
Mais on y dénombre 536 000 pauvres (notamment des agriculteurs), soit un taux de pauvreté de 17,5 % (stable), plus que les actifs occupés de 18 ans et plus (7,7 %) et plus que les salariés (6,4 %).
" Les niveaux de vie en 2016 : la prime d’activité soutient l’évolution du niveau de vie des plus modestes " Insee Première N° 1710, septembre 2018
Si les indépendants ont un revenu médian annuel proche des salariés, leur taux de pauvreté y est 3 fois plus élevé.
Les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 11 040 € annuels et les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,4 fois supérieur, au-delà de 37 570 €.
En 2016, les ménages les plus modestes ont notamment bénéficié de la mise en place de la prime d’activité en janvier 2016. Les niveaux de vie sont en revanche stables dans le haut de la distribution et diminuent même pour les 5 % les plus aisés.
Le taux de pauvreté s’établit à 14 % de la population (8,8 millions de personnes), après 14,2 % en 2015. La situation vis-à-vis de la pauvreté reste très liée au statut d’activité: 38,3 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,4 % des salariés et 34,8 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en 2016.
Noter que les indépendants (4,9 % de la population totale) ont un revenu médian de 23 190 € , proche de celui de l’ensemble des salariés (22 680 €) et des retraités (21 510 €); il a progressé 3 fois plus que celui des salariés (respectivement de +2 % vs +0,6 %).
Mais on y dénombre 536 000 pauvres (notamment des agriculteurs), soit un taux de pauvreté de 17,5 % (stable), plus que les actifs occupés de 18 ans et plus (7,7 %) et plus que les salariés (6,4 %).
" Les niveaux de vie en 2016 : la prime d’activité soutient l’évolution du niveau de vie des plus modestes " Insee Première N° 1710, septembre 2018
Si les indépendants ont un revenu médian annuel proche des salariés, leur taux de pauvreté y est 3 fois plus élevé.