Bercy devrait être capable, d’ici la fin du mois, de détecter les signaux de détresse des entreprises au moins 18 mois avant une possible entrée en procédure collective. L’objectif est de pouvoir les alerter pour les soutenir efficacement avant la catastrophe.
Une initiative partant du constat suivant : lorsque l’entreprise vient voir l’URSSAF pour négocier l’espacement des créances par exemple, il est parfois déjà trop tard pour la sauver. Il s’agit donc de trouver un système qui détecte, en amont, les micro failles et qui donne l’alerte à l’entreprise afin qu’elle réagisse.
Grâce aux données fiscales et financières des entreprises en sa possession, la DGFIP a mis en place un algorithme qui détermine le risque de difficultés pour l’entreprise et lance des alertes lorsque l’entreprise est en danger.
Le projet est actuellement en expérimentation dans 9 départements et sera étendu à la France entière à la fin du mois, en liaison avec d’autres institutions.
Une initiative partant du constat suivant : lorsque l’entreprise vient voir l’URSSAF pour négocier l’espacement des créances par exemple, il est parfois déjà trop tard pour la sauver. Il s’agit donc de trouver un système qui détecte, en amont, les micro failles et qui donne l’alerte à l’entreprise afin qu’elle réagisse.
Grâce aux données fiscales et financières des entreprises en sa possession, la DGFIP a mis en place un algorithme qui détermine le risque de difficultés pour l’entreprise et lance des alertes lorsque l’entreprise est en danger.
Le projet est actuellement en expérimentation dans 9 départements et sera étendu à la France entière à la fin du mois, en liaison avec d’autres institutions.