Un trait de personnalité qui se retrouve chez beaucoup d’entre nous, notamment dans la sphère professionnelle. Mais il existe des nuances propres à chacun, face à la difficulté de passer en mode action. Associée à des séances de méditation, l’identification de notre profil pourra nous aider à nous libérer des travers de la procrastination.
À force de remettre à plus tard, la vie nous dépasse, Senèque
À force de remettre à plus tard, la vie nous dépasse, Senèque
Les différents profils
Selon le Dr Pychil et le Dr Ferrari, deux spécialistes mondiaux du sujet, il existe trois grands types de procrastinateurs.
Les procrastinateurs « éveillés » ou amateurs de sensations fortes :
Ils ont confiance en leurs capacités et pensent qu’ils fonctionnent mieux en étant sous pression. Ils apprécient la sensation d’adrénaline ressentie en faisant les choses à la dernière minute. Lorsqu’ils agissent de cette façon, ils ressentent une sorte d’euphorie.
Leur phrase préférée : « C’était le rush, j’ai tout donné ».
Les procrastinateurs « évitants » :
Ces personnes procrastinent afin de ne pas être jugées par les autres. Selon le Dr Ferrari, pour ménager leur estime personnelle, elles vont développer une forte tendance à se préserver et à éviter d’être jugée, que se soit en cas d’échec ou de succès.
Leur phrase préférée : « Si j’avais commencé plus tôt, je m’en serais sorti ».
Les procrastinateurs « indécis »:
Les indécis sont souvent perfectionnistes mais font preuve de procrastination pour ne pas assumer la responsabilité de leurs actes. Les indécis peuvent se sentir paralysés : ils savent qu’ils devraient faire un choix, mais ne savent pas lequel et préfèrent éviter de prendre des décisions.
Les procrastinateurs « éveillés » ou amateurs de sensations fortes :
Ils ont confiance en leurs capacités et pensent qu’ils fonctionnent mieux en étant sous pression. Ils apprécient la sensation d’adrénaline ressentie en faisant les choses à la dernière minute. Lorsqu’ils agissent de cette façon, ils ressentent une sorte d’euphorie.
Leur phrase préférée : « C’était le rush, j’ai tout donné ».
Les procrastinateurs « évitants » :
Ces personnes procrastinent afin de ne pas être jugées par les autres. Selon le Dr Ferrari, pour ménager leur estime personnelle, elles vont développer une forte tendance à se préserver et à éviter d’être jugée, que se soit en cas d’échec ou de succès.
Leur phrase préférée : « Si j’avais commencé plus tôt, je m’en serais sorti ».
Les procrastinateurs « indécis »:
Les indécis sont souvent perfectionnistes mais font preuve de procrastination pour ne pas assumer la responsabilité de leurs actes. Les indécis peuvent se sentir paralysés : ils savent qu’ils devraient faire un choix, mais ne savent pas lequel et préfèrent éviter de prendre des décisions.
Leur phrase préférée : « Pour ne pas me tromper, je préfère ne pas me positionner ».