Afin de favoriser la productivité, de réduire le stress ou encore d’avoir un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, 6 Français sur 10 opteraient pour la semaine de 4 jours.
Dans ce cas, plus de 8 Français sur 10 seraient prêt à augmenter leurs horaires quotidiennes afin d’avoir un jour supplémentaire de repos tout en conservant leur rémunération mensuelle actuelle (83 %). Inversement, 17 % des Français préfèreraient conserver leurs horaires avec un salaire réduit.
L’étude met en avant des aspirations différentes selon l’âge et la situation professionnelle. Ainsi, seuls 15 % des Millennials (25-34 ans) choisiraient la baisse de salaire. Par ailleurs, la semaine de 4 jours est plus plébiscitée chez les 35-44 ans : 62 % souhaitent une semaine de 4 jours.
Dans les autres pays d’Europe, la semaine de 4 jours est également plébiscitée : 63 % des Espagnols sont attirés par ce modèle de rythme au travail, 61 % des salariés du Royaume-Uni et des Pays-Bas. En revanche, elle séduit seulement 38 % des Polonais.
* Étude « The Workforce View in Europe 2019 », réalisée par ADP auprès de plus de 10 000 salariés européens, dont 1 410 Français.
Dans ce cas, plus de 8 Français sur 10 seraient prêt à augmenter leurs horaires quotidiennes afin d’avoir un jour supplémentaire de repos tout en conservant leur rémunération mensuelle actuelle (83 %). Inversement, 17 % des Français préfèreraient conserver leurs horaires avec un salaire réduit.
L’étude met en avant des aspirations différentes selon l’âge et la situation professionnelle. Ainsi, seuls 15 % des Millennials (25-34 ans) choisiraient la baisse de salaire. Par ailleurs, la semaine de 4 jours est plus plébiscitée chez les 35-44 ans : 62 % souhaitent une semaine de 4 jours.
Dans les autres pays d’Europe, la semaine de 4 jours est également plébiscitée : 63 % des Espagnols sont attirés par ce modèle de rythme au travail, 61 % des salariés du Royaume-Uni et des Pays-Bas. En revanche, elle séduit seulement 38 % des Polonais.
* Étude « The Workforce View in Europe 2019 », réalisée par ADP auprès de plus de 10 000 salariés européens, dont 1 410 Français.